
Le livre : Verdict / Justin Peacock. Paru le 4 novembre 2010 chez Sonatine. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Johan-Frédérik Hel Guedj. 22€ ; (368 p.) ; 23 x 15 cm
Rééditeur en poche chez Pocket 12 novembre 2015. 7€30 ; (448 p.) ; 18 x 11 cm
4e de couv :
«Lorsqu’on se demandera quels ont été les meilleurs thrillers de l’année, nul doute que Verdict figurera à la toute première place. C’est dans son genre un roman exceptionnel. Méfiez-vous tout de même, une fois que vous aurez ouvert ce livre, vous ne pourrez plus le refermer !» The Washington Post
Joel Deveraux est à l’orée d’une brillante carrière dans un cabinet réputé d’avocats d’affaires new-yorkais. Mais celle-ci est brisée net par une sinistre histoire de drogue, et Joel se retrouve du jour au lendemain avocat commis d’office dans de minables affaires de délinquance. Lui qui ne fréquentait que les hautes sphères de la société se retrouve ainsi dans les rouages les plus misérables du système juridique, parmi les pauvres et les déshérités.
Vient enfin le jour où il est affecté à une affaire plus importante, aux côtés d’une autre avocate, Myra Goldstein. Un dealer notoire est accusé du meurtre d’un jeune étudiant. Le suspect est noir, la victime juive et blanche. Lors d’un procès passionnant, aux rebondissements multiples, Joel va vite comprendre qu’en matière criminelle la culpabilité ou l’innocence d’un prévenu importe moins que la force de persuasion de son avocat. Et que le verdict dépend bien souvent de celui qui aura su raconter l’histoire la plus convaincante.
Servi par une écriture magnifique, Justin Peacock, salué par une critique unanime, se hisse d’emblée à la hauteur des grands maîtres du genre, de John Grisham à Scott Turow. Sa connaissance parfaite du milieu judiciaire américain et de ses dérives donne à cet ouvrage, fourmillant de détails sur les procédures et la vie quotidienne des avocats, un aspect brut et quasi documentaire qui le rend plus terrifiant encore.
«Peacock conjugue ici le meilleur du thriller judiciaire avec un réalisme digne de la série Sur écoute. On ne peut rêver mieux.» Entertainment Weekly
L’auteur :
Diplômé de Columbia et de Yale, Justin Peacock est avocat. Il a plaidé de nombreux cas criminels, où la peine de mort était requise. Il vit à Brooklyn. Verdict est son premier roman.
Citation :
Un procès criminel, c’est une forme de sauvetage de la vérité, mais l’avocat de la défense ne fait pas partie de l’équipe de sauvetage.
Ah ah devines …..
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Moi j’aime les legal thriller, les cours des tribunaux… et j’ai le livre en plus !
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Héhé, encore un a sortir de ton immence Pal. Et celui là il rentre dans le contexte Am’ricain 😉
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Yes, of course !! Et si l’auteur était anglais, ce serait coup double !
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T’es une gourmande toi 😉
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Oui, je sais, je veux le beurre, l’argent du beurre et le cul de l’auteur !
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Voilà, c’est ça ! Le cul de l’auteur. 😉
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S’il a un joli petit cul, pourquoi pas ??
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Gourmande, mais ça je te l’ai dejà dit, non ?
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Oui, la gourmandise est un de mes péchés !
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Et c’est pas le seul !!!
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La luxure ?? 😀 La colère, aussi, de temps en temps.
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Tous les pechès capitaux et quelques autres 😉 lol
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Non, pas l’avarice, même si je fais gaffe à pas dépenser tout et à mettre de côté, pas l’orgueil et pas l’envie non plus. Ni la paresse, même si j’aime la farniente.
Mais il à noter que le mot « capital » vient du latin « caput » qui veut dire tête et c’est pourquoi le meurtre n’y figure pas. On parle donc des péchés de tête parce que c’est la tête qui dirige, maintenant, on dirait des « vices ».
C’était la minute culturelle ! ;-))
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Mais on est là pour ça !
Alors merci pour ce petit topo miss Belette 🙂
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Là, c’est fini la culture, je passe au cul tout court !
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Moi je fais la Ture alors 😉 mdr
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Je reste dans le Cul… tu me connais !
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Ben disant que j’apprends à te connaître 😉
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On me connait vite, tu sais… tout se situe au niveau du sexe !
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Surtout le cerveau 😉
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Le cerveau des mecs est dans leur sexe, en effet…
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C’est ce qui s’appelle ce faire mener par le bout de la queue 😉
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Et ils aiment quand notre main attrape leur cerveau ! mdr
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Et peur des femmes trop intellos 😉
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Non, pas tous… ;-))
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Ah bon ???
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Quand je lis ça, j’entends la voix de la marionnette de Roselyne Bachelot aux Guignols, quand elle était ministre de l’économie !
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Ah bon ??? mdr 😉
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Tu connais pas ??
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Excellent 😉
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Mais pas moyen de retrouver ses gags aux Guignols, quand elle parlait d’aller acheter des manteaux en peaux de tigres ! POILANT !!
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Pas faux ! 😉 mdr
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j’aime po les « legal thriller » 😦
Je passe mon tour sur celui là
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Ben tu fais comme tu le sens, il y en aura pour tout le monde 😉
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