Vous allez pas me croire. ET oui…A nouveau taguée.
Et pour ce 4ème Tag C’est Mélie (encore elle) oups May Lee du blog The love Book
Les règles :
Répondre aux questions de la personne qui nous a nominé –> en l’occurrence Mélie (ses réponses TAG n°1 et TAG n°2 )
Répondre à ce tag avec un article.
Nominer des blogueurs (Bon finalement je vous laisse libre de répondre ou pas
) Mais j’aimerai bien quand même que les pépètes et mon petit padawan réponde à ces quelques question car on ne change pas une équipe qui gagne. N’est ce pas les filles. Mais je vais rajouter quelques blogueuses de choc, histoire de leur faire un peu de pub, hihi !
Athénaïs du blog Un livre dans la tasse.
Celine de Book à oreilles.
Lucie Lucielovelivewithbooks.
Morgane et son blog thé mon oolong.
Sans oublier Anne Ju et ses Motordus.
Je vais aussi tenter Stelphique de Mon féérique blog littéraire
Et aussi Belette de The Cannibal Lecteur
Puis encore Julie de Ju lit les Mots
Poser 5 questions à ces blogueurs . Là ce ne sera pas bien compliqué, ce sera les mêmes, elles sont bien sympas ces questions ! Surtout que j’ai pas eu à les chercher.
1- Quelle héroïne de livre aimerais-tu avoir comme meilleure amie ?
Ahrrrrrrrr, je crois que j’aimerai bien avoir pour copine Emma Peel. Mais il y a fort longtemps qu’elle n’a pas été héroïne d’un bouquin.
mes 2 petits avis sur ces deux bouquins
Dernièrement j’ai beaucoup aimé Pénélope Cissé. l’héroïne « Des belges reconnaissants » de Martine Nougué Cette jeune flic est un sacré bout de femme avec un sacré caractère. Elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.
Pénélope Cissé, officier de police au commissariat de Sète, est chargée d’enquêter sur l’assassinat du maire de Castellac. En s’intéressant au passé du village, elle se confronte à des habitants peu coopérants, enclins au racisme et à la xénophobie. Au fil de son enquête, elle croise des chasseurs, un noyau de militants écologistes et une journaliste qui, tous, épiaient les moeurs de la victime.
J’ai aussi un petit faible pour Hanah Baxter la profileuse surdouée mais terriblement émouvante créer par Sonja Delzongle. On peut la retrouver dans « Dust « et aussi dans «Quand la neige danse»
Hanah Baxter, 43 ans, est une profileuse française installée à New York. Un jour, elle reçoit un appel de Collins, le chef de la police kenyane, au sujet d’une série de meurtres et de croix tracées avec le sang des victimes. Peu après son arrivée à Nairobi, Aka Merengue, fondatrice de la Ligue de défense des albinos, est assassinée.
Février 2014, Crystal Lake, près de Chicago. Quatre fillettes ont disparu en un mois et leurs familles reçoivent une poupée vêtue comme leur fille au moment de sa disparition. La profileuse Hanah Baxter est appelée en renfort par le père de l’une d’entre elles. Elle découvre que les enlèvements d’enfants remontent à des années. De plus, elle est persuadée que la police fait fausse route.
2- As-tu déjà abandonné un livre. Si oui, lequel ?
C’est vraiment très rare quand j’abandonne un bouquin. Ou alors il faut qu’il me tombe des mains parce que écrit avec les pieds, lol
Il y a un bouquin, un chef d’oeuvre pour beaucoup qui ne résiste depuis 30 ans.
C’est « Belle du seigneur » d’Albert Cohen.
Ce livre je l’ai eu entre les mains 3 ou 4 fois. 4 fois je l’ai commencer. J’en ai lu un peu plus de 300 pages et puis je ne l’ai jamais fini.
A 16-17 ans on rêve d’histoires d’amour extraordinaires, de passion dévorante, alors je me suis lancée à corps perdue dans cette histoire que l’on avait dit sublime. Et pourtant, j’ai eu du mal à rentrer dans celle-ci.
Je ne suis dit, tu es trop jeune pour comprendre tout la subtilité de ses sentiments Et je me suis promis de le reprendre vers 30 ans. Là non plus je n’ai pu finir ce livre mais pour des raisons plus personnelles que je ne dévoilerais pas ici.
Puis à 40, même fiasco. Aujourd’hui à 50 balais, peut-être que la vie n’aura fait comprendre que certain livre nous résiste. Alors je tenterai une fois encore Belle du seigneur et j’espère n’y noyer corps et âme cette fois ci !
Belle du Seigneur d’Albert Cohen (Folio), 1 129 pages, 12,50 €
Voici ce qu’en disaient las critique de i’époque :
C’est un livre extraordinaire , irritant , magnifique , propre à déclencher les passions… C’est un livre fait pour casser l’orgueil . Pour casser tout. Au passage, et dans son pessimisme absolu, il ramène à zéro la passion sexuelle… Je crois saisir en cet esprit très religieux, très religieusement juif d’Albert Cohen, un immense désir de pureté. Qu’on soit ou non d’accord sur le principe sous-jacent, on constatera que ce n’est pas là un des aspects les moins intéressants du livre.
Jean Freustié, Le Nouvel Observateur, décembre 1968
Quel morceau, Quel monstre ! 845 pages, 32 francs et à peu près autant d’heures de lecture que de francs : on est terrorisé… On tente pourtant l’aventure . On plonge dans l’énorme histoire : alors le mécanisme joue et l’on est piégé . Des beautés éclatantes , des torrents de mauvais goût : on est emporté par l’un , ébloui par les autres . On sort de là un peu stupéfait , la tête vide, mais soyons francs : le jeu en valait la chandelle.
François Nourissier, Les Nouvelles Littéraires, Septembre 1968
3- Lis-tu plusieurs livres à la fois ?
Oui tout le temps! Pour mon job de coordination du comité de lecture polar des bibliothèques de la ville de Paris, je sélectionne les romans policiers qui vont entrer dans les fonds des médiathèques parisiennes. Alors forcément, quoi de mieux que de lire 6-8 polars par quinzaine pour pouvoir les comparer et surtout en faire un classement.
De cette lecture plurielle, se dégage celui qui va me paraître le meilleur, le coup de coeur de la semaine, celui que j’ai le moins aimé, celui pour lequel je n’ai eu aucun frisson. Et puis ceux qui sont bons voire très bon !
Et oui, il m’est demandé de faire des choix car nos budgets ne sont pas extensibles et qu’en plus la production littéraire, elle, est exponentielle.
Ainsi, les romans qui nous auront parus les moins bons passeront à la trappe !
4- As-tu déjà pleuré en lisant un livre ? (titre ?)
Non, ou alors rarement.
Je prends des claques de grandes claques, des coups de poing, des uppercuts. Mais rarement je pleure. Peut-être ai-je été émue à l’extrême parce qu’un livre m’a ramener à ma propre histoire.
Mais des larmes, non, j’en ai pas de souvenir.
M^me si souvent de nombreux sentiments se mèlent lors de mes lectures. Des sentiments parfois m^me antagonistes.
Le dernier livre qui n’ai ému c’est Rural noir de Benoit Minville. Vous comprendrez mieux en lisnt ma petite chronique
Dans la campagne nivernaise, le clan formé par Romain, son frère Christophe, Vlad et Julie, est bouleversé par l’arrivée de Cédric, un adolescent rebelle, puis par l’agression de la seule fille de la bande. Dix ans plus tard, à la mort de ses parents, Romain revient dans le village et découvre les différents chemins pris par ses amis. Le gang se reforme quand Vlad est retrouvé presque mort.
5- As-tu déjà fait des cauchemars à la suite d’un livre ? (titre ?)
Non jamais, enfin je ne crois pas.
Pourtant à l’adolescence j’ai adoré les livres de Stephen King. Comme entre 12 et 15 ans j’adorais les films d’horreur. Heureusement j’étais grande et je faisais pus vieille que mon âge, alors je pouvais rentrer avec mes potes au cinéma. J’ai adoré Shining, et le livre et le film, même si ce dernier diffère du bouquin.
Situé dans les montagnes Rocheuses, l’Overlook Palace passe pour être l’un des plus beaux lieux du monde. Confort, luxe, volupté…
L’hiver, l’hôtel est fermé. Coupé du monde par le froid et la neige. Alors, seul l’habite un gardien. Celui qui a été engagé cet hiver-là s’appelle Jack Torrance : c’est un alcoolique, un écrivain raté, qui tente d’échapper au désespoir. Avec lui vivent sa femme, Wendy, et leur enfant, Danny.
Danny possède le don de voir, de ressusciter les choses et les êtres que l’on croit disparus. Ce qu’il sent dans les cent dix chambres vides de l’Overlook Palace, c’est la présence du démon. Cauchemar ou réalité, le corps de cette femme assassinée ? ces bruits de fête qui dérivent dans les couloirs ? cette vie si étrange qui anime l’hôtel ? Un récit envoûtant immortalisé à l’écran par Stanley Kubrick.
Bien des livres m’ont mis les larmes aux yeux… j’ai fait aussi des cauchemars mais je sais plus avec lesquels… 😀
Avec Yvan on va essayer de te trouver un livre qui te fasse pleurer ! Il doit en exister imprimés sur des pelures d’oignons !
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Là avec des pelures d’oignons, tu es certaine de me faire pleurer ! Je peux pleurer comme une madeleine devant un film par contre !
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Je ne pleure pas souvent avec un livre, le dernier celui de Loevenbruck 😉 merci pour ce TAG Geneviève 😀
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Ah le Loevenbruck, il en a fait pleurer plus d’un ! 😉
Merci à toi Mélie de m’avoir fait découvrir les tagues. Et j’espère que mes réponses et mes petits articles te conviennent ! Des bises
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objectif de la décennie qui vient, donc : trouver le livre qui va te faire verser une petite larme 😉
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Ah toi tu veux me voir pleurer ! De rage alors, ça c’est possible. La colère, celle qui te pousse à la violence peut peut-être me pousser au larmes pour endiguer cette violence justement.
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