Le livre : La fille de la plage de Alexis Aubenque. Paru le 16 mai 2018, aux Éditions, Hugo Roman. 17,00€ ; 464 p. ; 13 x 20,5 cm.
4ème de couverture :
Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Que cherche-t-elle ?
En ce début d’été, Jason, Nathan, Keith et Sandy fêtent la fin de l’année universitaire. Si certains sont issus des plus riches familles de Santa Barbara, la ville de tous les excès, et d’autres sont moins fortunés, un lien indéfectible les unit depuis leur enfance. La soirée s’annonce sous les meilleurs auspices. Mais la découverte de Chelsea, jeune fille retrouvée inconsciente sur la plage, s’apprête à changer à tout jamais leur existence.
Avec une candeur désarmante, elle s’immisce dans chacune de leurs vies. Prodiguant des conseils à Sandy, fragile et peu sûre d’elle, mais aussi à Nathan en proie à un inquiétant maître-chanteur.
Quant à Keith, totalement envoûté par Chelsea, il est prêt à tout pour la défendre.
Mais en vaut-elle vraiment la peine ? Est-elle aussi ingénue qu’elle en a l’air ? Jason, seul à émettre des craintes à son endroit, a-t-il raison de se méfier alors que les trois autres sont tombés sous son charme ?
Au travers de cette rencontre, les quatre étudiants vont se retrouver en proie au doute. Et chacun va se remettre en question et se confronter à ses désirs et à ses contradictions, pour au final relever le défi le plus exigeant qui soit : la découverte de soi-même.
L’auteur : Née le 23 décembre 1970, originaire de Montpellier. Alexis Aubenque, après une maîtrise en sciences économiques, décide de changer radicalement de cap, et se tourne vers l’écriture.
Passionné de littératures de genre, il devient libraire durant près de dix ans, tout en publiant des romans de science fiction, dont le diptyque « La chute des mondes » chez Pocket, ainsi que la nanologie « L’empire des étoiles » chez Fleuve Noir. Il se tourne ensuite vers le Thriller, où il publiera aux éditions Calmann-Levy la trilogie River Falls, dont le deuxième tome fut couronné par le Prix Polar de Cognac.
Il enchaîne en 2011 avec le premier tome des « Nuits Noires à Seattle », la suite délocalisée à l’Est de River Falls, mais aussi avec Canyon Creek, un « one shot » aux éditions du Toucan. Lauréat de prix prestigieux et traduit dans plusieurs pays, Alexis Aubenque dans son dernier roman, convie sur les plages ensoleillées de Santa Barbara une multitude de personnages attachants et savoureux dans une saga d’été qui mêle romance, amitié, mystère et rebondissements.
Extrait :
« La musique du boléro prenait de l’ampleur. Après les violoncelles, les flûtes, la harpe, l’orchestre tout entier s’incrustait crescendo dans la mélodie hypnotique au rythme ostinato. Sandy ferma les yeux et s’imagina à danser.
Les minutes s’égrenaient et la mélodie montait en puissance pour la cueillir tel un ouragan. Jack avait augmenté le volume et Sandy avait l’impression d’être prise dans un tourbillon de notes qui s’adressait à elle dans un langage qu’elle n’avait jamais entendu auparavant mais qu’elle comprenait intuitivement.
La voiture s’arrêta, mais Jack attendit la fin du morceau pour couper le contact.
Sandy avait les larmes aux yeux. Elle n’en revenait pas. C’était magique. Jamais elle n’aurait imaginé que la musique classique puisse provoquer de telles émotions.
– Ça va ?
– Oui, excusez moi, c’est tellement beau.
– Tu n’as pas à t’excuser. Nous vivons dans une société qui refuse d’émotion et qui ne sait plus ce qu’est la beauté. Une société qui refuse de s’ouvrir à ce qu’elle ne connaît pas est une société qui rétrécit. Comme tu l’as vu hier, je n’ai rien contre la musique rock, ou pop, r’n’b, ni même techno, mais on ne ce doit pas pour autant d’oublier ce que sont le classique et le jazz.»
Le ressenti de Jean-Paul
La fille de la plage de Alexis Aubenque
Bonjour à toutes et à tous…
J’entretiens des rapports très particuliers avec Alexis !
(Attention ! En tout bien tout honneur !!!)
Peut-être, parce que c’est l’un des premiers auteurs que j’ai rencontré lors d’un salon ?
Peut-être, parce qu’il fait parti de ces auteurs qui ne sont pas sur un piédestal, qu’il est très abordable ?
Qu’il est comme vous et moi, qu’il aime discuter et rire (rire surtout !)…
Peut-être, parce que plus qu’un auteur, c’est surtout un véritable conteur, et qu’il m’emmène avec lui à chacun de ses récits ?
Peut-être, aussi parce que chaque personnage qu’il créé semble si réel, si vivant, profonds et attachants que je voudrai le connaître…
Alexis après avoir écrit des romans de science-fiction qui malheureusement sont peu connus et pourtant d’un niveau de maîtrise excellent, il m’a ébloui avec sa Saga à “River Falls“, puis la série “Nuits Noires à Seattle“, en passant par la série “Jack Turner“ et bien d’autres encore, mélange de polars et de thrillers…
Aujourd’hui je vous parle de son dernier Roman “La fille de la plage”.
Quatre amis inséparables, Nathan, Jason, Sandy et Keith décident de sauver une jeune fille totalement épuisée et de la mettre à l’abri…
La jeune fille est belle et perturbante, elle a peur de la police et est persuadée d’être une mauvaise personne ou pire, une criminelle.
Pour son premier roman “Girly“, Alexis ne peut s’empêcher de semer trouble, mystères et rebondissements sur les plages ensoleillées de Santa Barbara !!!
Aussitôt commencé, je l’ai lu d’une traite !
Tout le roman est rythmé par une Playlist hétéroclite superbe passant par les standards actuels en faisant des détours vers la musique classique et des morceaux jazzy bien choisis…
Alexis ne se contente pas de tisser une intrigue linéaire. Il créé plusieurs sous-intrigues qui viennent enrichir la principale en croisant les personnages jusqu’à me perdre, pour mon plus grand bonheur.
Deux jours à Santa Barbara.
Deux jours qui vont changer à jamais la vie de ces quatre amis.
Deux jours intenses qui malgré l’amour et humour, amènent finalement tension et peur, qui pourraient se révéler dramatiques !
Le final ?
Un régal, Alexis, je crois que c’est la première fois que tu me mets la larme à l’œil…
J’ai encore une fois passé un excellent moment de lecture.
Un seul mot pour résumer ce roman : Émotion !
Je vous le conseille fortement, en attendant impatient, son prochain roman !!!
La fille de la plage, c’est ♪ Aline, pour qu’elle revienne ♫ ?
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Avec son nom écrit sur le sable ! Mais il n’y a pas une Hélène aussi ?
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♫ seul sur le sable, les yeux dans l’eau ♪
Aaaaah, la voix de Roch Voisine !!!
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Voilà c’est ça !
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Elle a beau avoir de l’âge, cette chanson, je trouve qu’elle a bien vieilli et je l’adore toujours 😉
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Sacré Rock, faut dire même aujourd’hui il a belle allure notre québécois !
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On le violerait bien au coin du bois !!
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Au coin du feu aussi !
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Sur une peau de bête !!!!!!
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Une fausse peau de bête , alors !
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Non, une vraie, pour avoir plus de plaisir… tu es contre la véritable peau de bête ???
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Un jour j’arrêterai de manger de la viande pour être totalement d’accord avec moi même ! Alors du coup oui ! Contre la fourrure aussi
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Je ne saurais pas me passer de viande… mais j’aimerais que les animaux soient tués de manière moins barbare. Le mieux, c’était quand mon papy tuait son cochon ou sa génisse lui-même… ses poulets, aussi.
Tu ne me diras rien pour ma veste en mouton retourné ??? Elle a plus de 20 ans, c’est te dire si je conserve mes affaires correctement et que je les mets encore 😉
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La souffrance animal n’était pas un sujet lorsque les français vivaient à 70% à la campagne. Nos grands Parents et leur parents avant eux avez leur propre animaux de consommation. La plupart les élevés normalement, les bêtes n’étaient ni maltraités ni entassés les unes sur les autres. Elle vivaient là dans les fermes ! La consommation de masse avec l’exode vers les villes à changer la donne.
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Dès qu’on passe à un truc de masse, le bordel commence !!
Mes grands-parents ne donnaient que leurs restes aux chiens, et ils n’étaient pas maigres, maintenant, nos restes, tu ne saurais plus nourrir un chien !
Retour à la campagne et on élève nous même nos bestioles à manger… Je vais demander de suite à mes parents comment on tue, on saigne, on plume les bestioles que j’aime manger ! Eux savent encore le faire, moi, non…
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Non aussi j’ai perdue tout cela dans ce monde trop normalisé !
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On va dans le mur !
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Droit dans le mur comme dirait Nick Gardel !
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Horrible, je le sais et je reste comme un lapin dans les phares d’une voiture
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Pauvre petit Lapin !
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Tu connais l’histoire de « sprotch le lapin » ???
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et toi tu la connais ?
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Oui… c’est celle du lapin qui traverse la route et une voiture arrive et à cause des phares, le lapin reste tétanisé dans la lumière.
Et alors ? Ben spotch le lapin…
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Heu j’ai pas compris ! Je ne dois pas avoir la référence !
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Tu connaissais la blague de PAF le chien ?? Ben je l’ai changée en SPROTCH le lapin, puisque je me comparais à un lapin dans les phares d’une voiture : je vois ma civilisation s’écrouler et je regarde la maison brûler…
Quand la voiture arrivera, elle m’écrasera et SPROTCH… la belette ! 😉
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C’est juste que je ne connais pas SPROTCH !
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Mais tu connaissais PAF ?? SPROTCH, c’est l’onomatopée d’un truc qu’on écrase… un bouton blanc, une feuille de chou, un lapin,…
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Aïe ça fait mal !
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oui
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:-‘
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Ouf… déjà celui ci est dans ma pal 🤣😂
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C’est ton banquier qui va être content !
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Oui oui je respire du coup 🤣😂
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Moi j’avais trouvé son roman un peu trop ‘mignon’ à mon goût mais il m’a fait passer un super weekend. J’ai eu l’impression de partir en vacances parce qu’il m’a accompagné tout le weekend.
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Les roman d’Alexis ont toujours je trouve un peu coté « Feel good » même les plus sombres
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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Merci
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