Le livre : Une étoile en enfer de Guy Rechenmann – Paru le 24/03/2020 chez Caïrn – collection Du noir au sud – Le prix broché 11 € – epub 4.99 € (292 pages) ; format 18 x 12 cm
4ème de couverture :
Fait rarissime, une montagne s’écroule en 1248. Dès lors les crimes commis sur le versant du mont Apremont, dans la vallée de la Chartreuse, ne seront jamais élucidés. C’est sans compter sur la pugnacité d’Anselme Viloc, le flic de papier, qui, confronté à la fois au mystère du naufrage d’un chalutier d’Arcachon et à la disparition d’une jeune fille du pays partie en apprentissage à Paris chez un cuisinier en devenir, va, non sans mal, arriver à remonter le temps. Anselme Viloc, le savoyard adopté par le Bassin et ses humeurs, est devenu une référence dans le domaine des « crimes à haute probabilité de non-résolution », c’est son patron le commissaire Plaziat qui l’affirme et il va, encore une fois, nous en faire une brillante démonstration.
L’auteur : Guy Rechenmann ets né à Libreville , le 17 août 1950.
Ecrivain et homme de télévision, Guy Rechenmann avoue être un rêveur et un poète. Le hasard, il n’y croit pas beaucoup préférant parler de coïncidences, son thème de prédilection… Il attendra 2008 pour publier un recueil de poésies et de nouvelles La Vague aux éditions Ecri’mages suivi de cinq romans Des fourmis dans les doigts éd. L’Harmattan et Le Choix de Victor éd.Vents Salés où se mêlent suspense, poésie et onirisme…
Avec Flic de Papier, Fausse Note et A la Place de l’Autre ses derniers romans aux éd. Vents Salés, et Même le Scorpion pleure aux Éditions Cairn il revisite le genre policier d’une façon inattendue grâce au même personnage Anselme Viloc, un flic atypique et obstiné..
Guy Rechenmann écrit ses romans au Cap-Ferret.
Son site ICI
Extraits :
« C’est un dominicain du nom d’Etienne de Bourbon qui a recueilli ses confidences au début de l’année 1255 dans son volumineux ouvrage Exempla. Le dominicain invoque dans son texte la vengeance divine. »
« Attention Anselme, je ne suis pas en train de te dire qu’il y a de sots métiers, bien loin de moi cette idée, mais que si tu veux être peinard, c’est une solution ! tu auras les champignons à l’automne, le feu de cheminée l’hiver, le mimosa au printemps, les Parisiens en été et les people avec qui tu pourras te faire prendre en photo, le rêve sur terre en quelque sorte… alors là tu réduiras considérablement les risques d’une vie d’agent secret, tu ne crois pas non ? Bon d’accord tu ne seras pas à l’abri d’un pneu dégonflé ou d’un courant d’air dans ta cahute, synonyme de rhume ou dans le pire des cas d’une petite bronchite, mais avec un bon passe-montagne tricoté par maman et une petite giclée de Climarome tu devrais t’en tirer … sans trop de dégâts… comme tu aimes à le dire … »
« C’est marrant de voir ce qu’inspire la gloire pour le commun des mortels : travail, propreté, intelligence et probité. Tout homme célèbre serait une sorte de gendre idéal. Et surtout Patxi, en plus de la cuisine, imaginez qu’il fasse aussi la vaisselle et qu’il sorte les poubelles ! »
Pour Asnières, faut faire le 22 ?? PTDR
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Oh punaise tes blagues, elles datent !
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Hé, j’en ai de toutes les époques, ma bonne dame !
J’ai entendu tout à l’heure le lancement pour une émission qui parlait du scandale du Waterbraguette avec Clinton/Lewinski, sur une des chaînes chez nous et le présentateur dit « Clinton fait son mea culpa » et moi j’ai dit « son méat coule pas ? »… 😆
Ok, je sors.
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Oui dehors et plus vite que ça !
Le confinement n’excuse pas tout, non mais !!!
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le Moyen-âge et en plus chez moi (la Chartreuse!) donc je note pour faire la connaissance de l’auteur 🙂
ses titres sont orignaux …
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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