Le livre : Serial Belle Fille de Cécile Pellault. Parue le 11 décembre 2019 chez les éditions du Loir. 9€90. ( 258 pages ) ; 12 x 19 cm
4e de couv :
Quand Madame Belle-mère s’immisce une énième fois dans sa vie familiale, Chloé crée « le club des belles-filles en colère ». Au cours de réunions mensuelles, Chloé et ses copines en profitent pour vider leur sac, inventer des supplices à infliger à Madame Belle-mère et voter pour le plus drôle d’entre eux. Toutes y trouvent l’exutoire nécessaire pour affronter les incessants sous-entendus teintés de reproche et les bons conseils prodigués à la pelle. Surtout, Chloé pense avoir trouvé l’alternative parfaite pour ne pas craquer face à la mère de Romain. Mais la plaisanterie tourne bientôt au cauchemar lorsqu’une invitée indésirable du Club se met à réaliser un à un les supplices primés en réunion dans le but d’obtenir le titre de Belle-fille de l’année et l’admiration de toutes ! Un jeu de piste s’engage alors pour la débusquer et arrêter les agressions de belles-mères. Chloé va pouvoir compter sur ses amies Marie, l’executive woman, Tania, la toute jeune maman perdue dans ce nouveau rôle, Sophie, la journaliste au mari volage, Vic, la flic à l’ex belle-mère envahissante et bien d’autres…
L’auteur : Auteure de nouvelles et maman active, très impliquée dans le milieu associatif, Cécile Pellault signe son premier roman Serial belle-fille en 2005. Tout comme dans On ne choisit pas sa famille paru en 2007, elle y explore le ressort comique et satirique des relations familiales. L’année 2016 marque un tournant pour Cécile qui s’essaie avec talent au thriller. Son premier roman noir, Le brouillard d’une vie, recevra le Prix du rendez-vous littéraire du salon de Moret-sur-Loing cette année-là. Dans Les voix meurtries, deuxième thriller subtil et haletant, elle aborde une nouvelle fois ses thèmes de prédilection : le voyage, l’exil, les liens familiaux subis ou choisis.
Extrait :
« Nous allons tous mourir ce soir ! Il en est fini de notre monde tel que nous le connaissons. Ce n’est pas moi qui le dit, c’est la prophétie maya. Et elle a intérêt a se révéler exacte parce que sinon je vais lui faire bouffer son agrafeuse à ma connasse de chef de stage. »
J’ai une tendresse particulière pour ce roman. D’abord parce que je crois entendre Cécile parler, à chaque page sa voix, son humour résonnent à mes oreilles. Ensuite parce qu’en tant que belle-fille et belle-mère, ça me parle doublement ! Une réussite !!
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ah famille quand tu nous tiens !
Moi aussi j’ai adoré cet humour si particulier qu’est celui de Cécile.
J’ai aimé aussi qu’elle nous parle de sujet grave mais avec beaucoup de détachement, toujours grâce à cet humour justement.
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Un livre qui a un côté sympathique, rien que dans le titre!
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Oui ça claque ce titre et oui c’est une excellente lecture surtout par ces temps de confinement quoi de mieux qu’une comédie noire
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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Merci 😊
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merci 🙂
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Lu grâce à collectif polar ! Merci pour ce bon moment ! Mais ce livre ne restera pas dans ma mémoire…
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L’essentiel n’est-il pas de passer un bon moment, Manou ? La lecture c’est aussi ça, nous permettre de se divertir, c’est le but d’une comédie noire. Rire des autres et de nous même. 😛 Surtout de nous même ;-P
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Peu de mots mais plus qu’assez pour convaincre de le lire ! Bon, ok, moi c’est déjà fait ! 😏 (Quand même, mention spéciale à la phrase : parce que je sais pas raconter les histoires… 🤣)
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Merci Nathalie 😊
Oui Sacha a le sens de la petite phrase qui marque 😉
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ahahaha, c’est vrai notre Sacha nous a prouvé qu’elle ne savait pas raconter des histoire ! MDR ;-P
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