Le livre : Tombent les anges de Marlène Charine. Paru le 4 mars 2020 chez Calmann-Lévy dans la collection Calmann-Lévy Noir.19€50. (339 p.) ; 22 x 14 cm
4e de couv :
Lors d’une intervention de routine à Paris, Cécile Rivère, une jeune gardienne de la paix un brin désabusée, entend une femme appeler au secours dans un appartement pourtant vide. Le lendemain, on apprend que la locataire a été assassinée à des centaines de kilomètres de là. Cécile n’a pas pu l’entendre. Sauf si…
Mais quand on est flic, on croit au Mal, pas aux fantômes. Moquée et mise au ban de sa brigade, Cécile est recrutée par le capitaine Kermarec, le seul à ne pas la prendre pour une folle, le seul qui soit prêt à lui donner une nouvelle chance.
Ensemble, ils vont enquêter sur la mort d’une infirmière de vingt-cinq ans, décrite comme un modèle de gentillesse par ses proches. Mais qui cachait de bien sombres secrets…
Une héroïne décidée au franc-parler déconcertant, un rythme vit, des scènes d’une justesse incroyable. Un polar original que vous ne lâcherez plus dès la première page tournée !
L’auteur : Née en 1976 à Lausanne, de formation scientifique, Marlène Chiarine est une amoureuse des mots de la première heure. Tombent les anges est son premier thriller.
Extrait :
Il n’y avait eu aucun bruit particulier. Ni choc sourd, ni grincement, ni même le moindre cliquetis qui aurait pu expliquer son réveil. C’est plus une impression qui tira Clara de son sommeil. La sensation d’une présence, toute proche. Sa présence, à lui.
Elle ouvrit les yeux d’un coup, s’obligeant à respirer de manière normale malgré l’étau d’angoisse qui comprimait son cœur. Sur sa table de nuit, le radioréveil indiquait trois heures quarante-sept. Une pluie soutenue giflait les carreaux des fenêtres. Sans bouger, Clara se concentra sur la musique habituelle de son petit appartement. Le ronron de la chaudière. Le souffle d’un léger courant d’air, sous la porte de sa chambre, qui redoublait d’intensité aux moments où les nuages délivraient un crachin plus bourru. La jeune femme referma les paupières pour focaliser tous son attention sur son oreille libre. Il n’y avait rien d’autre. Rien du tout…
Si. Une lame du plancher venait de craquer. Celle tout près de la porte, sur laquelle Clara avait renversé du thé, un soir de décembre. Depuis, elle crissait à chaque fois qu’on y appliquait le moindre poids.
Tu me tentes ! Une histoire de fantômes et de truc un peu bizarre, je suis pour 😉
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Tu n’es pas très rationnelle, toi au contraire ma Belette ? Ou alors je ne comprends rien
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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merci
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