Le livre : Seoul Copycat de Lee Jong-Kwann. Paru le 8 octobre 2020 aux Éditions Matin Calme. 18,90 € ; (253 pages) ; 15 x 22 cm. Traduit du coréen par Koo Moduk et Claude Murcia.
4ème de couverture :
Un homme se réveille à l’hôpital. Il a perdu la vue ainsi que la mémoire. Il serait inspecteur de police. Il aurait traqué un copycat, un criminel qui aurait reproduit les crimes perpétrés par d’autres. Depuis son lit, enfermé dans son monde, l’homme tente de reprendre son enquête avec l’aide d’un collègue.
Mais celui qui ne voit plus et qui ne se souvient plus, comment trouvera-t-il son chemin ? Est-il seulement sûr de ceux qui le guident ? Et au fond, lui-même sait-il qui il est ? Quelque part, l’araignée a tissé sa toile et elle attend sa proie.
L’auteur : Discret, presque secret, l’auteur ne laisse guère filtrer d’informations sur lui-même. Nous savons tout juste que celui qui publie sous le pseudonyme de LEE Jong-kwan est rédacteur en chef dans une revue de science criminelle. Séoul copycat est son premier roman. Il a été publié par Goznock, jeune maison d’édition de Séoul que les éditions Matin Calme suivent avec grand intérêt.
Extrait :
Suyin attendit qu’elle poursuive. Comme si un interrupteur avait été actionné quelque part dans son corps, il avait soudain chaud et se sentait engourdi. Ses mains humides serraient le drap de son lit. Il se sentait excité.
Il avait l’impression que ses instincts se réveillaient. Une sensation semblable à celle qu’il avait éprouvée lorsqu’il traquait le tueur s’emparait de lui.
Il comprit aussitôt. Traquer le tueur était le meilleur moyen de se retrouver lui-même. Il pinça les lèvres pour ne pas montrer leur tremblement.
Tout en observant les réactions du corps de Lee Suyn, Han Jisu continuait de parler. Elle exposa d’abord l’ensemble de l’affaire puis l’expliqua en détail.
Les oreilles de Suyin étaient de plus en plus attentives à ne pas manquer un mot.
Il entendit le bruit des pages qu’elle tournait, elle devait examiner les documents d’enquête.
Pour lui signifier qu’il la suivait correctement, Suyin hochait souvent la tête.
Maintenant elle tournait plus lentement les pages qui portaient sur le cœur de l’affaire. De temps en temps elle en sautait certaines qu’elle devait juger inutiles et ennuyeuses.
Au seul bruit des pages, Suyin était capable de saisir les éléments importants de l’histoire.
Il transforma les informations qu’elle lui avait fournies en images mentales. Il dessina des liens, des lignes pour illustrer le déroulement de l’enquête sous forme de graphique. Il constata alors un vide au centre du tableau.
Merci !
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Une fois de plus, je suis tentée !!!
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Hihi, chouette ça !
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Mais non ce n’est pas chouette ! Vous n’arrêtez pas de me tenter, faut arrêter, c’est indécent 😆
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moi j’aime bien que tu viennes ici te faire tenter ma Belette 😆😆😆
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Je ne devrais plus mettre les yeux chez toi ! PTDR
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Mi j’y mets les lunettes ! Ben oui sinon j’y vois flou !
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Une fois de plus ravie ;D !!!
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Oui mais faut arrêter de me tenter tout le temps !! PTDR
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Tu restes dans l’univers coréen.
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Ah les petite Folies corréennes de Cécile, indispensable chez Collectif Polar Alex 😉
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Si mes folies sont indispensables alors, Mme la Bibliothécaire ;D et oui, Alex, je bascule souvent du côté du Pays du Matin Calme ces derniers temps ;D
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Indispensables, ouiiii !
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A reblogué ceci sur Le Bien-Etre au bout des Doigts.
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